La philosophie, Dieu et la maladie psychique.
Jusqu’à quand ce déni sociétal ?
Pourquoi les personnes dites « intelligentes » se posent des questions métaphysiques sur Dieu ?
De deux choses l’une : Ou bien Dieu existe et la schizophrénie hallucinatoire n’a pas de sens ; ou inversement. Mais malheureusement pour les croyants, ils doivent se mettre à cette évidence psychiatrique : la schizophrénie n’est pas un mythe mais une douloureuse maladie du cerveau.
Pouvez-vous citer une autre maladie qui porterait à confusion par ses symptômes révélés compris par nos malades comme des communications avec l’au-delà.
Dieu, croyances et religions ou « Les vérités hallucinatoires ».
Chez les « prophètes » des hallucinations maladives bien souvent suractivées par la prise d’enthéogènes abondamment utilisés lors des manifestations religieuses de l’époque ; de quoi se croire en communication avec l’au-delà, d’imaginer l’inexistant dieu, enfer et paradis, de transcrire ses délires mystiques dans des livres dits « saints ».
Juste une activation dopaminergique excessive qui se traite par des neuroleptiques, lesquels régulent les neurotransmetteurs au niveau du cortex. Dieu n’est donc qu’un problème de chimie exacerbée du cerveau
Rien qu’une maladie : voir, entendre, sentir l’inexistant, avoir des croyances erronées, et prolonger ses perceptions d’irréalité délirantes ressenties plus vraies que la réalité.
Jusqu’à quand cette maladie sera-t-elle vénérée et portera nos souffrants en déni de maladie avec toutes ses conséquences ?
Nous ne sommes plus les béquilles de la religion ; que chacun en prenne conscience.
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